Trois-Rivières, jeudi 22 févrierLa mère qui avait appelé la police m'a envoyer ce témoignage afin de sensibiliser les mères de son quartier à un problème qu'elle juge assez sérieux.
Voici son témoignage
Voilà je vais vous écrire les vrais faits de cette histoire c'est la seule façon que je peux faire de la prévention aux autres parents, car j'ai pas le droit de publié sa photo alors je pourrai la décrire.
Le 11 février 2007, un beau dimanche après-midi, ma fille 9 ans et une copine de 13 ans décident d'aller s'amuser au port de Trois-Rivières à 5 min de chez moi. Elles partent avec la planche à neige et les patins pour glisser et patiner. Juste avant, elles décident d'aller voir les monuments de glace au parc.
Naturellement c'est dimanche et il y a beaucoup de gens qui se promènent partout. Une dame vient voir les filles et leur dit bonjour, les filles, pour être polies, lui disent bonjour. Les filles continuent à s'amuser et là, la dame leur demande la planche à neige. Ma fille lui répond
non car ma mère ne veut pas, et je dois pas parler aux intrus. Mais la dame continue à les harceler et son ton de voix devient plus agressif car les filles ne lui répondaient pas.
Alors, elle leur offre de l'argent pour avoir la planche et ma fille lui répond encore une fois, on en veut pas, ma mère veux pas, alors parle-nous plus et laisse-nous tranquille. Les filles ont bien vu qu'elle avait un problème intellectuel par ses agissements. Alors, les filles avertissent des gens que la dame les harcelait depuis un bout temps, mais personne ne les prenait au sérieux, même si elles criaient aidez-nous!
Elles décident d'aller patiner, mais voilà que la dame revient à la charge encore, elle courrait pour les rejoindre, alors elles ont décider de patiner à toute vitesse pour y échapper, mais elle courrait et criait après eux avec un ton de plus en plus agressif.
Les filles décident finalement après 2hres de harcèlement, de remettre leurs bottes et de quitter vers chez nous. La raison pourquoi elles n’ont pas quitté avant, c'est que ma fille ne voulait pas que la dame la suive et découvre où on habitait. Mais là, les filles commençaient vraiment à avoir peur et froid, alors elles décidèrent de courir jusqu'à chez nous, mais la dame courrait derrière elles.
Quand les filles montaient les marches pour arriver à la porte, la dame était dans la cour et j'ai entendu ma fille crier en montant les marches. Je suis allé voir au plus vite, car ce n’était pas normal. Elles ont rentré et tout de suite barré la porte. Je leur demande qu'est-ce qu'il se passe ? Elles me disent qu'il y a une dame dans la cour qui les a suivis et qui les harcelait depuis un bout.
Je suis alors sorti, mais elle était partie. Alors, j'ai appelé la sécurité publique en leur racontant l'histoire. Au même moment, j'aperçois par la fenêtre une dame bizarre entrer dans la cour, alors je demande à ma fille ; est-ce cette dame ? Elle me répond oui maman. J'ai peur alors j'averti la répartitrice à qui je discutait de la situation qu'elle était rendu sur mon balcon et frappait à la porte sans arrêt. Je dis aux filles ; aller vous cacher dans la chambre elle ne vous verra pas. Je suis alors sorti sur mon balcon en lui demandant ce qu'elle voulait. Elle me répondit ; je veux ta fille, je lui demande pourquoi ? Elle dit vouloir lui remettre un livre d'enfants, mais l'avait oublié chez elle. Je lui demande pourquoi elle harcelait les filles au port ? Elle me dit ; je voulais m'amuser avec eux, alors je lui demande pourquoi vous leur avez montré des livres affreux, et vouloir les amener chez vous? Elle me dit, pour leur montrer
à jouer du piano. Mais quand les filles refusaient d'aller chez elle, elle était devenue très en colère. Ensuite, elle s'est mise à paniquer sur le balcon, car je l'affrontais et elle s'avait plus quoi dire je la retenais en lui parlant sur mon balcon en attendant que les policiers arrivent sur place. Mais là elle décide de quitter, alors j'appelle tout de suite le 911 pour dire vers quelle
direction elle était partie. Un policier là aperçu devant la cathédrale et lui a demandé ce qui c’était passé. Le policier ne pouvait pas l'embarquer, car ce n’était pas une cause assez grave.
Un policier est venu ensuite chez moi pour demander aux filles ce qu'il s’était passé. Ma fille a raconté toute l'histoire en pleurant. Quelle petite fille courageuse. Le lendemain le policier m'appelle, car il avait oublié quelques renseignements et je lui demande qu'est-ce qu’il va arriver si elle se présente encore chez moi ou harcelle ma fille ? Il me répondit ; vous appeler
toute suite la police.
Mais aussi elle a su à quelle école ma fille allait, car ma fille expliquait à sa copine ou était son école et la dame avait entendu. Alors, je décide, le lundi après-midi, d'aller informer l'école que fréquente ma fille de la situation. Le policier m'avait dit que ce serait de la bonne prévention à faire, ne prendre aucunes chances.
Alors, je vois le directeur en lui expliquant la situation et décrivant la dame au cas ou elle
viendrait à l'école. Je décide de faire quitter ma fille avant le temps alors la secrétaire va chercher ma fille dans sa classe et moi j'attends en bas à la réception. Pendant ce temps, j'entends à la porte d'entré quelqu'un qui entre, je me retourne, et voilà, c'était encore la dame elle ne me voit pas tout de suite.
Je reste calme pour voir pourquoi elle venait. Elle demanda la direction, car elle voulait voir un élève, mais ne s'avait pas dans quelle classe elle était. Elle se retourna et me voit et dit, justement c'est ta fille que je veux voir. Alors là j'ai demandé encore une fois pourquoi ? Elle me répète la même chose que la première fois. J'ai un livre à lui donner, disait-elle.
Ma fille arriva sur l'entre fait, voit la dame et fait une crise de panique. Le directeur dit à la dame de le suivre dans le bureau. Pendant ce temps, j'ai appelé la sécurité publique en leur expliquant la situation, les policiers sont arrivés, je leur ai dit que la dame était avec le directeur dans son bureau. Ils sont entrés pour aller voir. Ma fille elle était effrayée et moi enragée de voir que des personnes sont malades et devraient avoir des soins plus sérieux au lieu de les laisser à eux-mêmes et risquer de faire du mal à d'autres.
Voilà ça durer environ 2hres en tout. Les ambulanciers sont venus la chercher pour l’amener
à l'hôpital. Ensuite, un policier me dit que ma fille devrait être en sécurité la journée de la ST Valentin car la dame focussait sur cette date pour revoir ma fille pour lui remettre un cadeau spécial.
Voici sa description
La dame a environ 55 et plus, mince, cheveux longs gris, porte des lunettes, habillement pas très bien. Ce que ma fille avait remarqué le plus sur elle, ce sont ses dents très jaunes. J'ai su qu'elle habitait dans les alentours du centre ville. On là pas revu depuis, car peut-être elle est encore enfermée à l'hôpital. On ne peut rien savoir, c'est ce que je trouve dommage, car ma fille a fait des cauchemars et elle est craintive. Chaque fois qu'on sort de chez nous, elle me demande tous les matins si la dame est libérée, je lui réponds que je n’ai aucunes nouvelles.
Je peux vous dire qu'on pense que ça arrive seulement dans les films et aux autres, mais voilà c'est arriver à nous, à 5 min de chez nous et on est pas protégé du tout contre ces gens qui sont malades et libres de marcher sur la rue à côté de nos enfants. Ils dérangent notre vie en un instant et eux sont libres et protégés.
Une mère et sa fille inquiète
Une bagarre a éclatée entre deux individus dans un bloc appartement de la rue Audet à Trois-Rivières Ouest, au moins trois appels sont entrés au 911. À l'arrivée des policiers, les deux individus avaient transporté leur bagarre à grand coups de poings, dans la rue. Les policiers ont maîtrisé les deux individus et calmer les esprits. Les ambulanciers avaient été demandés sur place pour un des deux bagarreurs qui aurait déboulé des escaliers avant de continuer à se battre dans la rue.
